jemeremetsausport.com

Régime pomme : perte de poids ou illusion minceur ?

régime pomme

Mange-t-on mieux avec un « régime pomme » ?

Le régime pomme, aussi appelé monodiète de pomme ou cure de pomme, promet une perte de poids rapide en ne consommant que ce fruit pendant un à trois jours. Séduisant ? Peut-être. Efficace et sans risque ? Pas si simple. 

Dans cet article , on démêle les promesses de ce régime hypocalorique à la lumière des données scientifiques récentes, on explique pourquoi il fait (un peu) baisser l’aiguille à court terme, et comment utiliser la pomme intelligemment dans un programme minceur durable. Au passage, vous repartirez avec des menus types, des check-lists pratiques et un comparatif avec d’autres méthodes. Objectif : vous aider à décider, en toute connaissance, si le régime pomme a sa place dans votre vie… ou s’il vaut mieux l’oublier.

Qu’appelle-t-on « régime pomme » ?

Le régime pomme consiste à consommer exclusivement des pommes (crues, cuites, en compote sans sucre ajouté, parfois en jus) sur une période courte, le plus souvent 24 à 72 heures. On rencontre aussi les termes « monodiète de pomme » ou « cure de pomme ». Cette approche vise soit une perte de poids express, soit une prétendue « détox ». Or la « détox » au sens diététique n’a pas de fondement scientifique : votre organisme dispose déjà d’un système d’élimination très performant (foie et reins) et les régimes « détox » n’ont pas démontré d’efficacité propre en clinique humaine, au-delà de l’effet de restriction calorique temporaire.

Quels sont les bienfaits du régime pomme ?

 Le régime pomme est souvent présenté comme un régime hypocalorique simple dont le premier bienfait perçu est la sensation de satiété liée aux fibres, avec parfois une perte de poids rapide (surtout de l’eau) quand on adopte ce régime à la pomme sur une courte durée. Mais Comment fonctionne le régime pomme ? Son fonctionnement repose sur un principe du régime très minimaliste : un régime à base de pommes (crues, cuites ou en compote sans sucre), où l’on peut manger une pomme en collation ou en « pré-repas » pour réduire l’apport énergétique, et suivre le régime pommeun à trois jours. Ce type de régime alimentaire peut servir de déclic, mais il gagne à être réinséré dans une alimentation équilibrée et durable, proche d’un régime méditerranéen riche en légumes, légumineuses, céréales complètes, poissons et bonnes graisses. En pratique, mieux vaut considérer ce régime comme un outil ponctuel et non une fin en soi, puis revenir à un régime alimentaire varié où la pomme reste une alliée plutôt que l’unique menu du régime pomme.

Ce que la pomme apporte… quand on la croque au bon moment

La richesse de la pomme ? Des fibres (notamment pectine), de l’eau, des polyphénols, et une densité énergétique modérée. Une expérience contrôlée a montré qu’une pomme entière consommée en entrée augmente plus la satiété et réduit davantage l’apport énergétique du repas qu’une compote ou un jus, à calories égales. En clair : mordre dans le fruit entier aide à manger moins ensuite. 
Côté composition, une pomme crue (100 g) apporte environ 54 kcal et des fibres utiles pour la satiété et le transit. C’est cohérent avec les tables nutritionnelles françaises. 
Des revues de littérature récentes suggèrent par ailleurs que les polyphénols de la pomme (flavonols, procyanidines, phloridzine…) sont associés à des effets cardiométaboliques favorables (profil lipidique, inflammation, fonction endothéliale), à considérer comme de potentielles aides… pas des sésames.

Faut-il éplucher ? La peau concentre une part des polyphénols et des fibres ; bien laver, puis croquer avec la peau optimise l’intérêt nutritionnel. 

Pourquoi « régime pomme » seul = fausse bonne idée

Les monodiètes  (pomme seule le plus souvent sur un régime de 3 jours) sont pauvres en protéines et lipides de qualité, et peuvent mener à la fatigue, aux étourdissements, à la constipation, ou à l’effet rebond. Le rapport d’expertise de l’Anses souligne les risques : perte de masse maigre, fragilité osseuse (diminution mesurable de la densité minérale osseuse pour une forte perte de poids), troubles hépatiques ou rénaux selon les cas, et cercle vicieux de reprise de poids. 
Qui doit éviter le « tout pomme » ? Femmes enceintes ou allaitantes, adolescents, personnes âgées, sportifs à forte charge, personnes sous traitement médical ou avec antécédent de troubles du comportement alimentaire. Dans ces situations, la consultation professionnelle n’est pas une option.

Comment Suivre le régime pomme… intelligemment?

Plutôt que d’imposer une monodiète, on peut utiliser la pomme comme levier dans un régime hypocalorique équilibré : c’est la « méthode pomme intelligente ».

La méthode pomme intelligente (en 5 actes)

Précharge « pomme entière » : manger une pomme 10–15 minutes avant le déjeuner et/ou le dîner. Les essais montrent une baisse de l’apport énergétique du repas quand le fruit est entier. 

 

    1. Cadrage calorique : viser un léger déficit (par exemple −300 à −500 kcal/j selon le besoin), sans descendre sous des seuils trop bas sur plusieurs jours. Les régimes très hypocaloriques exposent à des risques et au rebond.
LIRE AUSSI  Régime sans résidu : guide complet pour comprendre

    1. Protéines et graisses de qualité : garantir 1,0–1,2 g de protéines/kg/j (fourchette indicative à discuter avec un pro), ajouter des lipides protecteurs (colza, noix, olive, poissons gras) pour la satiété et l’adhérence. Les repères nationaux PNNS/HAS vont dans ce sens d’équilibre. 

    1. Activité physique régulière : 150–300 min/semaine d’activité d’intensité modérée (marche rapide, vélo, natation…) + renforcement 2 fois/semaine pour préserver le muscle pendant le déficit énergétique. 

    1. Hydratation + vigilance FODMAP : boire de l’eau, et si vous avez un intestin irritable, sachez que les pommes sont riches en fructose/sorbitol (FODMAPs) et peuvent ballonner ; commencez petit ou remplacez par d’autres fruits mieux tolérés. 
      Combien de pommes par jour ? 1 à 2 gros fruits (ou 2 à 3 petits) suffisent. L’idée n’est pas d’empiler des pommes : c’est d’utiliser le fruit entier comme déclencheur de satiété dans un régime alimentaire équilibré. 

Exemple de journée « régime pomme » équilibré (hypocalorique)

Petit-déjeuner : yaourt nature + flocons d’avoine + ½ pomme en dés + noix. Déjeuner : précharge = 1 pomme entière ; suite = assiette « 3 parts » : ½ légumes (crus/cuits), ¼ protéines (poulet, tofu, œufs…), ¼ féculents complets + 1 cuillère d’huile de colza. Snack : 1 fruit (autre que pomme si sensibilité digestive) + 1 laitage. Dîner : précharge = 1 pomme; suite = soupe de légumes + poisson gras + quinoa + légumes verts. Eau à volonté, café/thé non sucré si souhaité. Cette structure s’appuie sur les repères PNNS (plus de fibres, variété, bonnes huiles)

Contexte : que disent les autorités de santé des régimes restrictifs ?

En France, l’Anses rappelle que les régimes amaigrissants pratiqués sans suivi (dont les monodiètes) exposent à des risques pour la santé (os, cœur, reins) et à des perturbations psychologiques (troubles du comportement alimentaire). Le message est clair : un régime n’est pas un acte anodin et mérite un accompagnement professionnel.
Par ailleurs, les repères officiels recommandent d’augmenter la part de fruits et légumes (au moins 5 portions/jour, une portion = 80–100 g), dans la variété plutôt que de s’en tenir à un seul aliment.

La pomme, un bon aliment… mais pas un « menu »

100 g de pomme crue avec peau apportent environ 52 kcal, ~14 g de glucides, ~2,4 g de fibres, très peu de protéines (~0,3 g) et de lipides (~0,2 g), ainsi que du potassium (~107 mg) et un peu de vitamine C (~4,6 mg). Une pomme moyenne de 150–180 g fournit donc 78–94 kcal et ~3–4 g de fibres. 
Côté glycémie, les fruits entiers comme la pomme ont un index glycémique bas (≤55) ; en pratique, l’IG d’une pomme se situe généralement dans une fourchette basse à modérée selon la variété et la préparation. 

Pourquoi le régime pomme fait parfois « perdre du poids » en deux jours ?

Parce qu’il est très hypocalorique et riche en eau/fibres : vous mangez moins d’énergie que d’habitude, vous videz un peu le tube digestif et vous perdez de l’eau (glycogène). Ce n’est pas de la graisse perdue en priorité.

Le régime pomme « détoxifie-t-il » l’organisme ? Non. Le foie et les reins assurent en continu la détoxication. Les cures « détox » n’ont pas d’efficacité démontrée propre et peuvent induire carences et effet yo-yo quand on reprend une alimentation habituelle. 

 

Ce que dit la recherche : pommes, satiété, poids et santé cardiométabolique

 

    • Forme du fruit et satiété : dans une étude contrôlée, manger une pomme entière au début du repas diminue plus l’appétit et l’apport énergétique qu’une compote ou un jus équicaloriques. En clair : la matrice solide compte. 

    • Essais cliniques « trois pommes (ou poires) par jour » : chez des femmes en surpoids, l’ajout de trois fruits/jour sur 10–12 semaines a conduit à une perte de ~1 kg, supérieure à celle d’un groupe témoin (biscuits à l’avoine de même fibres). Effet modeste, à court terme, et dans un contexte contrôlé. 

    • Lipides sanguins : deux pommes par jour (variétés riches en polyphénols) peuvent améliorer certains marqueurs (cholestérol LDL) sans viser spécifiquement l’amincissement. Le bénéfice dépend de la variété, de la dose et du profil des participants.

    • Fruits et poids à long terme : les synthèses récentes indiquent qu’une consommation plus élevée de fruits entiers s’associe à un risque légèrement plus faible de surpoids/obésité et de prise de poids, mais on parle d’habitudes globales, pas d’une monodiète ponctuelle.

Limites à garder en tête

Les essais sur la pomme durent rarement au-delà de quelques semaines, avec de petits effectifs ; beaucoup mesurent des biomarqueurs plutôt que des issues cliniques « dures ». On ne peut pas extrapoler un bénéfice cardiométabolique à long terme à partir d’une cure de 3 jours.

LIRE AUSSI  Alimentation avant le sport : quoi manger pour performer ?

Les risques du régime pomme (monodiète)

 

    • Carences rapides en protéines : la pomme apporte ~0,3 g/100 g, insuffisant pour protéger la masse musculaire en période de restriction. Les recommandations en phase d’amaigrissement tournent autour de 1,2–1,6 g/kg/j chez l’adulte (plus chez le sportif). Une monodiète de pomme ne peut pas répondre à cet objectif. 

    • Fatigue, fringales, TCA : l’Anses signale des risques physiologiques et psychologiques avec les régimes amaigrissants non encadrés, dont les monodiètes. 

    • Des maux de tete

    • Reprise de poids : l’amaigrissement express vient surtout de l’eau et d’un déficit énergétique non durable. Les autorités et guides de pratique recommandent des approches structurées et personnalisées (HAS). 

    • Dans tous les cas une consuktation avec un professionnel de santé comme médecin nutritionniste est toujours souhatable

 

Tableau comparatif : trois façons d’« utiliser » la pomme

Approche Avantages Inconvénients/risques Pour qui ? Verdict
Monodiète « régime pomme » stricte (1–3 jours) Simplicité, effet « reset » subjectif Carences, fatigue, perte musculaire, effet rebond, déconseillée aux publics fragiles Très peu de personnes, uniquement si avis médical À éviter au profit d’un cadre équilibré.
« Précharge » pomme entière avant repas (dans une alimentation normale) Satiété améliorée, réduction spontanée de l’apport au repas, plaisir intact Peut ballonner en cas d’IBS ; nécessite de mastiquer lentement Grand public sans pathologie digestive spécifique Option simple et efficace
Régime hypocalorique équilibré intégrant 1–2 pommes/j Déficit maîtrisé, maintien du muscle si protéines/activités OK, durable Demande un minimum d’organisation La majorité des personnes souhaitant perdre du poids doucement Le meilleur compromis (santé/adhérence).

Bien utiliser la pomme… sans tomber dans le piège du régime pomme

La pomme est une alliée : pratique, accessible, rassasiante, IG bas, riche en fibres. Elle a sa place dans un programme de perte de poids, mais comme ingrédient, pas comme unique menu.

5 façons prouvées d’intégrer la pomme pour mieux gérer l’appétit

 

    • Prise « pré-repas » : croquer une pomme entière 15–20 min avant un déjeuner réduit l’apport au repas (effet « préload » démontré vs compote/jus). 

    • Goûter fibre + protéine : pomme + yaourt grec nature (ou skyr) pour combiner volume, protéines et fibres.

    • Petit-déj’ à IG bas : porridge d’avoine + dés de pomme + cannelle ; l’avoine ajoute bêta-glucanes rassasiants.

    • Salade composée : mâche, poulet, pomme, noix, vinaigre de cidre (pour le goût, sans en attendre un effet minceur spécifique).

    • Cuisson « light » : pommes rôties au four, cannelle, sans sucre ajouté.

Le jus de pomme est-il « équivalent » au fruit ? Non. Les jus, même 100 %, ne comptent que pour une portion et sont pauvres en fibres ; l’effet satiétogène est moindre qu’avec le fruit entier.

« Plan express » sur 7 jours (sans régime pomme)

Objectif : intégrer la pomme intelligemment, atteindre 30 g de fibres/j et un déficit modéré.

 

    • Petit-déj (au choix) : 1) Porridge avoine + pomme + cannelle ; 2) Pain complet + fromage frais + quartiers de pomme ; 3) Skyr + pomme + amandes.

    • Déjeuner : base de crudités + céréale complète + légumineuse ou protéine maigre + fruit (pomme souvent mais pas toujours).

    • Goûter : pomme + laitage nature, ou pomme + 1 poignée de noix.

    • Dîner : soupe de légumes + source protéique (poisson, œufs, tofu, volaille) + légume vapeur + féculent complet en petite portion.
      Astuces : viser 1–2 pommes/j, varier avec poires, agrumes, fruits rouges ; boire eau/infusions ; cuire « simple » ; assiette à moitié légumes. Repère fibres : objectif 30 g/j (ANSES). 

Erreurs fréquentes 

 

    • Confondre jus et fruit : le jus cale peu et compte au maximum pour une portion/jour.

    • Faire du régime pomme une habitude : répétée, la monodiète entretient les cycles d’échec/récidive et fragilise la relation à l’alimentation. 

    • Oublier les protéines : elles protègent la masse maigre en déficit énergétique ; la pomme seule n’en apporte quasiment pas. 

Exemple de journée type équilibrée (≈ 1 700–1 900 kcal, à ajuster)

 

    • Petit-déj : porridge (50 g flocons d’avoine), lait ou boisson végétale non sucrée, 1 pomme en dés, cannelle, 1 c. à s. de graines de courge.

    • Déjeuner : grande salade (salade verte, carottes râpées, quinoa cuit 80 g, poulet 120 g, ½ pomme en lamelles, 1 c. à s. de noix), vinaigrette légère.
LIRE AUSSI  Le Zinc : Un minéral essentiel pour la santé

    • Goûter : 1 pomme + skyr (150 g).

    • Dîner : filet de poisson 150 g, brocoli vapeur, petite pomme de terre au four, 1 c. à c. d’huile d’olive. Eau à volonté.

Le régime pomme face aux recommandations françaises

Les repères publics encouragent « au moins 5 fruits et légumes par jour » et 30 g de fibres quotidiennes. Une monodiète de pomme n’apporte ni la diversité, ni l’apport protéique nécessaire pour une perte de poids de qualité (graisse > muscle), contrairement aux parcours de soins structurés préconisés par la HAS. 

Pour qui le régime pomme est-il déconseillé ?

 

    • Antécédents de troubles du comportement alimentaire

    • Grossesse/allaitement

    • Adolescents, seniors fragiles

    • Pathologies chroniques nécessitant un apport protéique/énergétique suffisant (à discuter avec le médecin)
      Règle d’or : si vous envisagez une restriction marquée, faites-vous accompagner.

Pourquoi la pomme entière cale mieux que le jus ?

La matrice solide, la mastication, la viscosité des fibres solubles (pectine) retardent la vidange gastrique et stimulent la satiété ; à énergie égale, l’effet coupe-faim est supérieur au jus. Les méta-revues sur la pectine confirment des effets sur la satiété et la réponse glycémique post-prandiale, même si l’ampleur varie selon doses et matrices. 

En résumé : faut-il faire un « régime pomme » ?

Si vous cherchez une voie rapide, le régime pomme donne l’illusion d’un résultat, mais au prix d’inconvénients et d’un risque élevé de rebond. Utilisez plutôt la pomme comme outil dans une stratégie globale : préload avant repas, collation fibre + protéines, et diversité végétale pour atteindre les 5 portions/j. Les données soutiennent l’intérêt des fruits entiers pour la satiété et la santé cardiométabolique, mais pas la monodiète répétée. 

Le régime pomme peut faire baisser ponctuellement le poids sur la balance, mais n’est ni nécessaire pour « détoxifier », ni adapté à une perte de graisse durable. La pomme, en revanche, est un excellent aliment satiétogène à intégrer à un régime pomme… au sens figuré : un programme global qui privilégie les aliments peu denses en calories, les fibres (30 g/j), les protéines suffisantes et la variété. 

Le régime pomme attire parce qu’il est simple et prometteur à court terme. La science raconte une autre histoire : oui, la pomme entière aide à se rassasier et peut s’intégrer astucieusement à un programme minceur, mais la monodiète de pomme n’est ni nécessaire, ni recommandée pour maigrir de manière saine et durable. Misez sur l’équilibre, la variété, 30 g de fibres/jour et des apports protéiques adaptés ; faites de la pomme une alliée, pas votre unique menu. 

 

FAQ 

Le régime pomme marche-t-il pour perdre 3 kg en 3 jours ?

 Vous perdrez surtout de l’eau et du glycogène. La graisse ne fond pas à ce rythme. Le risque de reprise est élevé. 

La monodiète de pomme est-elle « détox » ?

Non : aucune preuve solide. Votre foie et vos reins s’en chargent ; mieux vaut manger équilibré et riche en fibres.
Pomme entière, compote ou jus ? La pomme entière rassasie davantage et aide à réduire l’apport du repas suivant, contrairement au jus.

Combien de pommes par jour dans un programme minceur ? Il n’y a pas de « chiffre magique ». 1 à 2 fruits/j font partie des 5 portions quotidiennes recommandées, en variant les espèces. 

Diabète : la pomme est-elle compatible ? 

Oui en quantité raisonnable, surtout entière (IG bas), en tenant compte de votre plan glucidique global. Demandez un ajustement personnalisé à votre équipe soignante.

  1. Anses. 2010–2011. « Régimes amaigrissants : des pratiques à risque » + Avis 2011. https://www.anses.fr. Consulté le 12/10/2025. 

  2. MangerBouger (Santé publique France). 2021. « Augmenter les fruits et légumes : au moins 5 par jour ». https://www.mangerbouger.fr

  3. MyFoodData (USDA FoodData Central, FDC 171688). 2025. « Apples, raw, with skin: per 100 g ». https://tools.myfooddata.com

  4. Flood-Obbagy JE, Rolls BJ. 2009. The effect of fruit in different forms on energy intake and satiety at a meal. Appetite 52:416–422. doi:10.1016/j.appet.2008.12.001. (accès PMC) 

  5. de Oliveira MC et al. 2003. Weight loss associated with a daily intake of three apples or three pears among overweight women. Nutrition 19(3):253-256. doi:10.1016/S0899-9007(02)00850-X. 

  6. Koutsos A et al. 2020. Two apples a day lower serum cholesterol and improve endothelial function: randomized crossover trial. Am J Clin Nutr. (version éditeur) 

  7. Devirgiliis C et al. 2024. Effect of Fruit and Vegetable Consumption on Human Health: dose-response meta-analysis. Foods 13(19):3149

  8. Atkinson FS et al. 2021. International tables of glycemic index and glycemic load values. Am J Clin Nutr 114(6):1625-1632. 

  9. Anses. 2019–2020. Repères PNNS et apport satisfaisant en fibres = 30 g/j (Avis NUT2017SA0143). https://www.anses.fr

  10. HAS. 2024. « Guide du parcours de soins : surpoids et obésité de l’adulte ». https://www.has-sante.fr

  11. Inserm CanalDétox. 2021. « Une cure de détox ? Vraiment ? » https://presse.inserm.fr

Derniers articles